ALIGATOR
Dans le large panel de la chanson française, ALIGATOR investit le terrain de la « world-électro ». Ses influences, de Dead Can Dance à Nusrat Fateh Ali Khan, ouvrent grand le champ des possibles.
Les chansons sont des décors, des horizons naïfs tracés à la craie sur un tableau noir. Elles ont la poésie douce-amère, le lyrisme oriental et le rayonnement électromagnétique. Finement travaillées, elles sont la rencontre des pôles, le meilleur des deux mondes… Onirisme et réalisme d’écriture où la poésie, en français et en arabe, fait sens.
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Les textes parlent d’amour et de haine, d’inégalités, de combats, d’anti héros et d’espérance. Un flirt transgressif qui nous mène de delta en détroit, à la croisée des chemins, entre accent traditionnel et résonnance électronique.
Sur scène, le groupe reptilien a le sang chaud et le public s'emballe, vorace, gourmand d'une musique qui rend fou. ALIGATOR c’est une odyssée au cœur de l’atome, une descente à pic au plus profond de l’âme humaine. Si la fibre est zen, l’énergie est nucléaire. Un trio qui sonne, entonne et cartonne. Un cirque musical à l’émotion festive.
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Nestor Kéa, génie acrobatique du « live machine », Georges Baux, insondable multi-instrumentiste, à l’orgue seventies et aux guitares naïves. Abdelwaheb Sefsaf, leader charismatique, au chant et à la percussion, imagine une langue nouvelle et percussive, un scat singulier, subtil et atomique.
GAGEONS QUE LEUR ASCENSION PROMETTEUSE LES MÈNERA AU SOMMET CAR ATTENTION, ALIGATOR SORT DES MARAIS ET OUVRE GRAND LA GUEULE !